L’Analyse Transactionnelle ou la PNL – dans ses applications thérapeutiques – au même titre que les autres thérapies dites comportementalistes se veulent être des thérapies du symptôme – certes psychique – plus que des « psychothérapies, c’est-à-dire thérapie de la personne, de sa psyché…
Si la psychanalyse et les autres psychothérapies s’attachent à regarder le pourquoi de la souffrance morale de la personne dans laquelle elle est enfermée, se rejoignant sur ce point, les thérapies comportementalistes se sont présentées comme une troisième voie visant à explorer les différentes manières de pouvoir ressortir de leur enfermement.
Ces dernières, la PNL s’imposant en tête de liste, sont plus précisément appelées les TCC (thérapies cognitivo-comportementales). Ces approches suivent des protocoles standardisés, mettent en place des contrats dans lesquels les clients précisent, en début de travail thérapique, leurs objectifs très précisément.
L’engagement, au travers de ces contrats thérapeutiques, est de courte durée, quelques mois en général.